« (…) On est au cœur de la douleur, là où s’est nouée l’écriture, en quelques pages d’une grande intensité où l’on sent qu’affleurent comme des icebergs les blessures les plus profondes, ce qui ne peut être dit dans le langage de tous les jours est ici reconstruit.(…)
Tout le langage entre en scène, syntaxe, vocabulaire bien sûr, mais aussi les lettres et l’on observera avec un sourire cette danse du Y qui fait les pieds au mur ou qui étend ses ailes. (…)
Ici pour la chronique complète : où se noue l’écriture