(Extrait)
«Un livre qui signe la naissance d’un véritable écrivain.»
Richard Blin, le Matricule des anges
« Le miracle d’une écriture unique qui parvient si bien à creuser le réel qu’elle en déplace les frontières.»
Emmanuel Requette, librairie Ptyx (Bruxelles)
« Dans un roman qui semble, au premier abord, constitué de tableaux juxtaposés, Catherine Ysmal installe petit à petit un mouvement. Il naît imperceptiblement, s’accélère et on se laisse séduire par un livre qui ne s’offre pourtant pas volontiers.»
Pierre Maury, Le Soir
« Troublant, puissant et magnifique. Le poème en prose du langage comme incompréhension radicale. »
Hugues Robert, Librairie Charybde (Paris)
« Catherine Ysmal façonne le drame — au sens premier d’action —
d’un langage qui accouche dans la douleur d’une incompréhension. Sa langue renverse l’apparent et le banal. »
Claire Laloyaux, Aquariumvert.wordpress.com
« Mais si Irène a pu faire tout cela, c’est parce qu’elle y a été conduite par une main habile, par un style aussi déroutant qu’inventif et novateur, par une profonde immersion de Catherine Ysmal dans les profondeurs, là où se tutoie la pureté de l’art. (…) L’auteur nous livre ici une œuvre rare, dense, pleine dont on ne peut sortir que « sonné » ou bien alors on n’a pas vraiment lu. Et si une vérité se dégage d’Irène, Nestor et la Vérité, c’est bien celle du langage. »
Jean-Paul Vialard, blanc-seing.net
« Un étonnement (au sens fort et classique du terme) qui vous saisit sans trêve, un bouleversement, un rapt. »
Lionel-Edouard Martin, écrivain, lionel-edouard-martin.net
« Attention : ébranlement. Celui du lecteur, quand soudain tout s’écroule dans le récit, armé d’un éclat si sauvage et si maîtrisé qu’il voisine avec de la poésie tout entière embrassée. Lire ce texte qui perce et heurte la matière même de l’écriture n’a rien d’anodin. Nous en sortons bouleversés mais à bout de souffle, en état de commotion avancée mais avec l’envie un peu folle d’un retour en piste (…). »
Jean-Emmanuel Ducoin, L’Humanité
« La vraie réussite de ce premier roman tient dans la densité de son écriture.»
Jacques Josse, Remue.net
« Au gré d’un processus créatif cherchant à dépasser ses limites, l’auteur nous livre une écriture métaphorique dont l’intention avouée est de questionner le langage même : interne ou externe, écrit ou parlé, ses différentes formes sont explorées sous une plume qui se distingue par son inventivité. »
Nathalie Kuborn, La Libre-Essentielle, supplément de la Libre-Belgique
« Une langue sans équivalent connu et sans commune mesure […] Un premier roman en forme de commotion. Un choc.»
Bénédicte Heim, Livres-addict.fr
« Si le prix Charles-Brisset existait encore, nul doute que l’Association Française de Psychiatrie se pencherait avec une jubilation vertigineuse sur cette écriture souvent proche de la rupture et qui brouille à dessein ses messages. « Irène, Nestor et la vérité » est un livre puissant par son impuissance même, au bord de l’écroulement comme la mouette en sa chute. »
Dominique Boudou, écrivain, dominique-boudou.blogspot.be
« La puissance du roman de Catherine Ysmal tient à sa langue et à la capacité qu’elle a de nous emporter beaucoup plus loin que la seule histoire de ce couple. »
Frédéric Fiolof, la-marche-aux-pages.blogspot.fr
« Catherine Ysmal marque durablement par la puissance du langage. »
Marianne Loing, senscritique.com
« Une superbe découverte pour ce beau premier livre et une vraie curiosité pour la suite.»
Anne Vivier, Racines.canalblog.com
« Ce livre est plein, gavé d’une violente beauté, où les images s’élancent, bousculent et se bousculent, chancellent. Irène, Nestor et la vérité, c’est une vision de force et de fragilité, celle d’un monde si sauvage et inconnu : celui de l’Autre. »
Virginie Holaind, chroniquesdasteline.blogspot.be