Extrait de la recension :
« Mais si Irène a pu faire tout cela, c’est parce qu’elle y a été conduite par une main habile, par un style aussi déroutant qu’inventif et novateur, par une profonde immersion de Catherine Ysmal dans les profondeurs, là où se tutoie la pureté de l’art. Car si œuvre il y a, c’est bien en raison d’une rare maîtrise du langage. A une époque où les têtes de gondoles ne délivrent qu’un pitoyable galimatias truffé de formules convenues et de thèmes à la mode – autrement dit de non-livres -, l’Auteur nous livre ici une œuvre rare, dense, pleine dont on ne peut sortir que « sonné » ou bien alors on n’a pas vraiment lu. Et si une vérité se dégage « d’Irène, Nestor et la Vérité », c’est bien celle du langage. »