« (…) Enterrant son père, Ilya conçoit une gigantesque imprécation libératrice, qui doit le dégager de la gangue langagière paternelle (et maternelle, mère à qui il est tout particulièrement temps de « rendre la couronne »), qui doit le faire muer de « bon fils » à « être à part entière », peut-être même – qui sait ? – libre, de ce fait.
Avec ce texte, sans doute plus encore qu’avec le précédent, Catherine Ysmal entre dans une petite cour où on ne trouve pas tant d’auteurs que cela, celle des authentiques artistes du langage, arme poétique intelligente et brutale. »
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