Extrait de la chronique : »
« (…) Catherine Ysmal invente la langue de chacun de ses personnages. Elle a le courage de commencer le livre par le premier monologue d’Irène. L’écriture explose et éclabousse, comme l’esprit d’Irène, qui navigue entre passé, présent, sensations et rencontres. Le lecteur est brinquebalé dans l’esprit d’Irène qui se fiche d’être rationnelle ou comprise, qui ne fait que dire ce qui passe, là, maintenant, dans son esprit. (…) »
Pour la lire, c’est ici :
http://racines.canalblog.com/archives/2013/03/20/26684212.html