« Il arrive parfois, c’est rare, qu’un éditeur s’affranchisse des règles commerciales, lesquelles voudraient que seul un roman de 150 pages minimum vaille d’être mis au monde, pour publier un texte lapidaire dont l’évidence s’est imposée à lui comme elle s’imposera au futur lecteur. Les éditions de minuit nous ont fait cette surprise jadis avec des proses de Beckett, Pinget, Echenoz. L’an dernier, après une traversée du désert de quelque temps, les éditions Quidam sortaient un court et très beau texte à valeur d’oasis, un texte signé Catherine Ysmal, auteur d’un premier roman remarquable et remarqué révélé à la même enseigne en 201… » Jean-Claude Leroy
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http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-claude-leroy/270715/ysmal-absolument